De retour sur ce blog. Je dois dire que je ne me suis jamais autant sentie mal qu’en ce moment. Pourquoi ? Comment ? Qui ?
C’est toujours pareil au fond… Les même personnes, le même mal être, les même disputes. La question que je me pose c’est surtout : Quand est-ce qu’ils vont arrêter de me prendre pour une folle ? Je ne le suis pourtant pas… Pourquoi ont-il toujours ce reflex de me rabaisser sans arrêt ? Elle se bouche les oreille quand je parle, m’interrompt, il ferme la porte quand je m’adresse à lui ou ils décident à l’unisson que mes paroles ne valent même un dixième d’attention. C’est pesant. Mais ça fait surtout mal au cœur. Le mal être qui règne en moi depuis un certain temps maintenant est devenu si imposant, si noir dans mon cœur que je n’arrive presque plus à le supporter. Le manque de respect dont je fais l’objet me ronge tous les jours de ma vie, -Parenthèse à ce que je vous écrit: “Quoi ma fille ? – Bah quand elle a hurler pendant une heure!” en direct live.- j’ai donc hurler pendant une heure ? Elle veut parler de quand je me suis emportée à cause du fait qu’en plein milieu de ma phrase elle me coupe en s’adressant à ma mère et mon frère : “Regardez le poisson rouge !” Oui. Voila que Nigga a plus d’intérêt que moi, voilà qu’à l’heure d’aujourd’hui le poisson rouge Nigga, le 08/05/2014 mérite plus de respect et d’attention que moi. Suis-je misérable ? Oui. Suis-je désemparer ? Je le suis, car il n’y a pas d’issu à mon sens. Les choses vont-elles changés ? non. Je ne sais pas, il y a un fossé qui se creuse de plus en plus entre ma famille et moi. Et honnêtement, je ne sais pas si je vais le supporter très longtemps… Demander à être respecter c’est pourtant pas la mer à boire ! Au fond, je pense que ça a toujours été comme ça, j’ai toujours blâmer mon père pour ce qu’il faisait, et encore plus ces derniers mois quand je lui en ai voulu à mort pour m’avoir zappé et au contraire avoir prit au mot ma sœur. Ce qui montre encore une fois que ma parole ne vaux rien une fois encore, je me suis dis “Ok Inès, c’est pas grave. Tu sais bien qu’elle a toujours été sa préférée alors te prends pas la tête avec ça.” Et j’ai continué dans cette optique, j’ai essayer de pas pleurer, j’ai resserrer mon cœur jusqu’à ce qu’il soit dur. J’ai tout fait pour ne pas craquer et de me dire “Regardes toi ma fille, à quel point tu es misérable… Tu lui as parler gentiment, tu lui a apporté tout le réconfort nécessaire et au final, il te jette sans crier gare.” Mais comment vous voulez que ça aille mieux quand à côté, il y a toute une famille qui me rabaisse sans arrêt ? Qui ne me prends jamais au sérieux ? Je suis actuellement en larme sur ce clavier mais il faut me comprendre, j’ai certainement atteint un point de non retour. Ils sont dans la pièce d’à côté joyeux et conviviale et je suis dans ma chambre pleurant et écrivant ce foutu billet pour essayer d’aller mieux, et crois-tu qu’elle s’est “déplacée” pour voir comment je vais ? Pour instauré le dialogue ? Pour me contredire ? Evidemment que non. Car le dialogue c’est pour les faible, et puis je ne mérite pas leurs temps. Je ne mérite pas l’estime que je réclame, le respect et la courtoisie que j’attends. Au fond, je suis beaucoup trop gentille, je me suis découverte dans un réelle extrême en ce qui concerne la défense de cette famille. Je serais capable du pire pour ces êtres là, et c’est la le problème. Pour moi -et de façon bien objective- ils ne seraient même pas capable du 1/10 de ce que je fais. C’est fou, il n’y pas une once de culpabilité de leurs part.
Un s’il te plais, un merci, un bonjour ou un au revoir ? nope. Être nommée par mon prénom plutôt que “Celle là” ? Qu’on arrête de se boucher les oreilles quand je parle ? De sous prétexte que j’ai tord, ne pas me zappé et sous-entendre que je ne suis une folle utopiste ? Que je crie, que je suis une sauvage ? Que je ne suis qu’une folle prête à être enfermer en asile ? Voilà, est-ce trop demander ? Suis-je vraiment dans le pays des merveille ?
Mais c’est finis maintenant. Je vais avoir 20 ans, et j’attends bien de cet anniversaire qu’il change ma vie. Il est clair que dorénavant je ne me consacrerait qu’à moi et moi seule. Que je ne participerait plus à leurs discutions sans fin, où si tu n’es pas de leur avis, tu ne mérite pas d’être à leurs côté. Les choses s’éclaircissent avec le temps. Y a au moins une chose dont je suis sûre maintenant, c’est que je ne resterai pas jusqu’à mon mariage dans cette maison, j’aurais mon chez moi bien avant.
Je ne suis qu’un personnage secondaire dans leurs vies, dont les paroles et les actes n’intéresse pas vraiment, mais il est hors de question que je sois secondaire dans MA vie.
Let's look.
-
Recent Posts
Archives
Categories
Meta